Le maître mot des taoïstes, c’est « bienveillance ».
Quand tu es bienveillant envers quelqu’un, en général, tu lui souris gentiment.
Essaie avec toi-même aussi.
Détends-toi et souris-toi un peu
en relevant les commissures des lèvres sans ouvrir la bouche.
Si tu as un peu plus de temps qu’une minute,
tout en relaxant ton souffle et tes muscles,
passe ton corps en revue.
Est-ce que tu es si stressé que ton cœur est serré?
Souris.
Est-ce que tu as tellement mal au dos que ça ne te fait plus rire du tout?
Souris à tes vertèbres.
Tu as tes règles et ça fait mal?
Souris à ton utérus.
Tu te trouves nul à chier?
Souris-toi quand même. Encore plus.
Tu veux savoir le fin du fin? Souris de près.
Descends vraiment ton attention à l’endroit qui n’est pas ton ami,
et souris dedans.
Tu m’en diras des nouvelles !
Et si tu veux, tu peux dire : Je m’aime de partout !
Le chi ne fait pas de chichi, pourquoi en ferais-tu?